Serge EXARE, Président Directeur Général de Sobem-Scame
« Même si la vie n’a pas de sens, qu’est-ce qui nous empêche de lui en inventer un ? » Lewis Caroll.
L’existence est une accumulation d’épreuves inéluctables qui engendrent parfois des plaies béantes et laissent toujours des cicatrices. Le Destin, celui qui nous lie en tant qu’êtres humains, a ce pouvoir inexorable de nous guider les uns vers les autres pour le meilleur et pour le pire. Malgré tout, ces évènements majeurs, aussi insupportables soient-ils, viendront illustrer le roman de notre destinée et nous permettront in fine d’inventer et de transcrire notre futur : notre Histoire.
L’Histoire de nos entreprises s’écrit de la même manière que celle d’une vie.
Une entreprise nait, grandit, prospère, profite, s’affaiblit, puis un jour disparaît.
Sobem-Scame savoure sa floraison et a donc encore de belles légendes à écrire pour que les générations à venir puissent un jour les raconter.
Et ce n’est pas ce fléau surgi d’on ne sait où qui nous empêchera de perpétuer Notre Histoire. Certes le Covid-19 restera gravé dans nos mémoires, mais plutôt que de s’en effrayer recevons le comme une préfiguration à une ère nouvelle où l’altruisme trouvera sa place.
L’humilité continuera donc de nous guider.
La solidarité et la fraternité demeureront nos devoirs de citoyens et de salariés.
L’épanouissement de chacun passera par l’encouragement et l’amélioration du rapport à l’autre.
Aussi, je souhaiterais vivement remercier l’ensemble de nos partenaires, fournisseurs et clients, qui nous ont accompagnés durant cette crise sanitaire et sociale.
Surtout, et là mes mots ne seront probablement pas suffisamment riches d’expression, je tiens à célébrer le comportement, le courage et l’implication irréprochables de mes collaborateurs tout au long de ces semaines inédites, délicates, voire surprenantes en émotions.
Une entreprise, c’est aussi une Famille ! Et je ne peux que m’enorgueillir de la mienne.
En épilogue, j’espère ardemment et du fond de mon âme que ces longues heures consacrées au confinement nous auront ouvert les yeux sur une réalité :
l’indifférence tue le monde !